30 octobre 2007

Premier jour : La decouverte d'une redecouverte.

Enfin, après 12 heures de vol, nous sommes arrives.



Dix heures, heure locale. Nous foulons le sol thaïlandais avec la seule prétention de vouloir nous endormir a nouveau. L'avion répondais, certes, a tous les critères du confort moderne (écran intégré, jeux, films, ...), cependant, pas aux critères du bon sommeil.
Il fait chaud. Humide. Trop. Il fait lourd et le soleil ne semble pas timide derrière les épais nuages de pollution. Quelques policiers nous observent, masque antipollution sur le nez. Mon frère, sa femme et leur enfant nous acceuillent avec toute la joie qu'ils peuvent donner sous 30 degrés.
Nous grimpons dans un minibus loue pour l'occasion, et nous nous dirigeons vers la maison conjugale, a près de 3h de Bangkok. Si peu.

Tout se dessine. L'architecture d'une ville en pleine expansion nous accable d'immenses immeubles au style varie. Certains brillent de leur innombrables fenêtre et nous narguent de leur principe corbusien, tandis que d'autres s'adonnent a l'éclectisme sauvage. Au milieu de tout ça, certaines bicoques aux tons criards survivent comme principe de mémoire. C'est surgarge. Autant les couleurs que le ciel.

Des taxis roses nous doubles, des camions pleins d'oeufs se font doubler, des pick up avec des gens derrières nous accompagnes. Un balais routier avec le volant a droite. Je suis epuise. Tout s'active devant mes yeux, alors que tout s'éteint dans mon esprit. Je m'endors.

Nous sommes arrive. La maison nous accueille avec tout ses convives (personnel du bateau de mon frère Vlad, ainsi qu'une connaissance de mes parents, aussi masseur). Nous nous installons, nous mangeons, nous parlons. Bouddhisme, principes moraux, anglais, massage, architecture, Bangkok, sourires, méditation. Tout ça trotte dans ma tête pendant que mes yeux se ferment.


Votre correspondant.



PS : J'ai commence ce fameux recueil sur la sexologie nomme : Elle d'abord, de Ian Kerner. Grand manifeste du plaisir féminin par l'usage de la langue féminine, c'est un grand bol d'air (ou de soupe pour certains) quand a l'explication d'une pratique fin en soi. Non pas que je n'ai pas de maître dans le domaine du cunnilingus (je tairerai son nom), car mon maître semble être l'instigateur de l'expectase, j'apprends au travers de deux formules distinctes : L'écrit et l'oral (que de paradoxe).
"Je pensais que l'oral était un palliatif a mon problème physique, je me suis rendu compte que le plaisir oral était sans commune mesure". Il me plaît ce Ian.
NB : Je mettrais les photos en ligne des que je pourrais brancher internet sur l'ordinateur de ma soeur. En plus d'en avoir plein le cerveau, vous en aurez plein la vu.

Aucun commentaire: