A bout de nerf, à bout de force, à bout de course. Tout ce que j’exècre revient dans ma gueule avec son acide et ses morceaux de bile.
Les femmes me rendent aphone par leurs doutes et leurs envies. « Nous voulons de la tendresse et de la force ». Je n’aime pas… J’ai le cœur et le corps qui hurlent à l’unisson. Elles se pensent infaillibles, alors que dans les moments de doute, elles préfèrent faire l’autruche.
Je n’aime pas.
Ces femmes qui aiment souffrir. C'est-à-dire presque toute. Elles aiment qu’on les traite comme des déchets, des résidus de capote qu’on laisse trainer sur rebord des chiottes. Elles aiment se sentir vivre en étant écorchée.
Je n’aime pas les filles qui se prennent pour des équilibristes et qui n’ont pas le tempérament de marcher sur un fil. Elles nous reviennent écorchées pour mieux retomber le lendemain.
Elles aiment sentir la compétition sans se sentir menacée, elles aiment crever pour se sentir renaître.
Elles veulent qu’un « je t’aime » devienne une exception. Elle aime se sentir faible et veulent être forte. Dire merde pour souffrir derrière. Une caresse puis une claque.
Souffrir parce qu’on se sent vivre… Se sentir désirée pour mieux apprécier… Se sentir double pour se sentir libre…
Aujourd’hui je n’aime pas. Je hais.
Je n’aime pas ces couples qui vivent leur petite vie rangée et qui s’en plaignent. Ceux qui baisent dans le lit parce que c’est confortable et qui ont un coït par semaine après le Commissaire Moulin. Ceux qui regardent les Experts le dimanche soir sans se parler parce qu’on va louper l’histoire de la série. Ceux qui disent non à la baise rapide parce qu’il y a de la vaisselle, que le maquillage va couler ou que la coiffure n’aura plus de gueule, qu’on n’a pas le temps ou que c’est sale. Je hais cette vie banale ou tout est acquis et l’amour n’est qu’une façade pour faire bonne figure.
J’aime la baise contre un mur avant d’aller bosser même si je sais que je vais être en retard. J’aime parler pendant un film et chauffer ma copine pendant une série. J’aime m’endormir contre l’autre et sentir son souffle régulier sur ma poitrine. J’aime sentir ses yeux divins me dévisager et me regardant avec désir. J’aime pouvoir vivre ma vie à deux sans qu’elle ne devienne double. J’aime ma liberté et elle se couple comme se vit seule. Jamais dans un couple je n’ai baissé ma garde et je sais que rien n’est acquis. Je me fous la pression seul. J’aime l’autre pour ses défauts et qualités quand je sais que l’effort sera commun. J’aime qu’elle me saute dessus avec voracité.
Je hais la banalité. Etre banal, c’est donner plus d’importance au feuilleton TV plutôt qu’à l’autre. C’est vivre ce qu’on a toujours vécu dans son passé parce qu’on sait comment ça fonctionne. Je n’aime pas souffrir, je n’aime encore moins sentir le visage de mon amie grimacer sous la colère.
J’aime l’amour et ce qu’il permet de réaliser.
Les femmes me rendent aphone par leurs doutes et leurs envies. « Nous voulons de la tendresse et de la force ». Je n’aime pas… J’ai le cœur et le corps qui hurlent à l’unisson. Elles se pensent infaillibles, alors que dans les moments de doute, elles préfèrent faire l’autruche.
Je n’aime pas.
Ces femmes qui aiment souffrir. C'est-à-dire presque toute. Elles aiment qu’on les traite comme des déchets, des résidus de capote qu’on laisse trainer sur rebord des chiottes. Elles aiment se sentir vivre en étant écorchée.
Je n’aime pas les filles qui se prennent pour des équilibristes et qui n’ont pas le tempérament de marcher sur un fil. Elles nous reviennent écorchées pour mieux retomber le lendemain.
Elles aiment sentir la compétition sans se sentir menacée, elles aiment crever pour se sentir renaître.
Elles veulent qu’un « je t’aime » devienne une exception. Elle aime se sentir faible et veulent être forte. Dire merde pour souffrir derrière. Une caresse puis une claque.
Souffrir parce qu’on se sent vivre… Se sentir désirée pour mieux apprécier… Se sentir double pour se sentir libre…
Aujourd’hui je n’aime pas. Je hais.
Je n’aime pas ces couples qui vivent leur petite vie rangée et qui s’en plaignent. Ceux qui baisent dans le lit parce que c’est confortable et qui ont un coït par semaine après le Commissaire Moulin. Ceux qui regardent les Experts le dimanche soir sans se parler parce qu’on va louper l’histoire de la série. Ceux qui disent non à la baise rapide parce qu’il y a de la vaisselle, que le maquillage va couler ou que la coiffure n’aura plus de gueule, qu’on n’a pas le temps ou que c’est sale. Je hais cette vie banale ou tout est acquis et l’amour n’est qu’une façade pour faire bonne figure.
J’aime la baise contre un mur avant d’aller bosser même si je sais que je vais être en retard. J’aime parler pendant un film et chauffer ma copine pendant une série. J’aime m’endormir contre l’autre et sentir son souffle régulier sur ma poitrine. J’aime sentir ses yeux divins me dévisager et me regardant avec désir. J’aime pouvoir vivre ma vie à deux sans qu’elle ne devienne double. J’aime ma liberté et elle se couple comme se vit seule. Jamais dans un couple je n’ai baissé ma garde et je sais que rien n’est acquis. Je me fous la pression seul. J’aime l’autre pour ses défauts et qualités quand je sais que l’effort sera commun. J’aime qu’elle me saute dessus avec voracité.
Je hais la banalité. Etre banal, c’est donner plus d’importance au feuilleton TV plutôt qu’à l’autre. C’est vivre ce qu’on a toujours vécu dans son passé parce qu’on sait comment ça fonctionne. Je n’aime pas souffrir, je n’aime encore moins sentir le visage de mon amie grimacer sous la colère.
J’aime l’amour et ce qu’il permet de réaliser.
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