Je vous écris d'un portable. Pour être plus précis, un ordinateur portable. Mais seuls les skybloggeurs auraient compris que je parlais de téléphone portable... Pauvre de eux. Je disais : "j'écris d'un portable" (je sais, c'est pédant de se citer). Et pour ne rien cacher, et donc, par voie de conséquence, tout vous avouer, j'aime beaucoup écrire d'un portable. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sens comme quelqu'un d'important, sous le son de ces touches aussi ridicules que difficiles d'utilisations. Bref, je me sens quelqu'un derrière ce petit écran, ce petit clavier et ce petit wifi. Mais je ne suis pas là pour parler de portable... quoi que cela ne me dérangerai pas, étant donné que je n'ai rien à dire, dans la substance du texte.
Je suis actuellement chez Colin. Celui la même qui vit à Paris. Donc, je suis à Paris. Voilà.
Je me devais de "parenthéser" ma vie (je néologise, tu néologises,...). Mettre en parenthèse car j'avais besoin de souffler. Besoin de recommencer une vie (ceux qui suivient ce blog peuvent comprendre une partie), même pendant quelques jours, afin d'oublier le mauvais et commencer du bon (même si j'aurais du mettre bon entre guillemets... mais je ne le fais pas).
Vous savez quoi... merde, j'me lance... j'aime Paris et ça me fait super chier de descendre. Putain, c'est dit... j'pensais que je ne le dirais jamais.
"Elle, c'est Paris. Elles, sont ces lignes qui glissent. Elle, c'est celle qui me regarde et que j'aime, ma feuille, ma vie."
Je ne raconterai pas tout. J'Aime, c'est bien assez trop.
Je suis actuellement chez Colin. Celui la même qui vit à Paris. Donc, je suis à Paris. Voilà.
Je me devais de "parenthéser" ma vie (je néologise, tu néologises,...). Mettre en parenthèse car j'avais besoin de souffler. Besoin de recommencer une vie (ceux qui suivient ce blog peuvent comprendre une partie), même pendant quelques jours, afin d'oublier le mauvais et commencer du bon (même si j'aurais du mettre bon entre guillemets... mais je ne le fais pas).
Vous savez quoi... merde, j'me lance... j'aime Paris et ça me fait super chier de descendre. Putain, c'est dit... j'pensais que je ne le dirais jamais.
"Elle, c'est Paris. Elles, sont ces lignes qui glissent. Elle, c'est celle qui me regarde et que j'aime, ma feuille, ma vie."
Je ne raconterai pas tout. J'Aime, c'est bien assez trop.
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