Aguiche-moi. Ta passivité me rend stérile. Pourquoi est-ce à moi de toujours venir vers toi ? Pourquoi n’es tu pas capable de me regarder avec la force de l’érotisme ? Pourquoi n’oses tu pas ?
Je souhaite que tu viennes vers moi, que tu me susurres ton désir ardent, même si je ne semble pas en avoir envie. Car de toi, j’en veux toujours. Suinte, mon amour. Suinte ton amour. L’amour de la chair ou l’amour du paraitre.
Je ne veux rien de sale, je veux de l’érotique. Que tu fasses découvrir toute la sensualité de ton corps, celui de cette femme qui hurle en toi. Laisse crier cette force du désir, je ne veux pas te retenir. Cambre, petite aguicheuse. Joue, avec ton corps pour plier le mien à tes désirs. S’il faut ne pas toucher, je ne serais que voyeur. Voyeur de ce corps que seul moi peux toucher. Prend confiance en tes qualités, prend confiance en tes défauts, car ils sont toi et ton entièreté me fait frémir.
Me désires-tu ? Car ta passivité m’en fait douter.