28 janvier 2007

Excuses ? Remerciements ?

Après relecture de la totalité de mes posts, je me rends compte qu'actuellement, je suis dans une période noire, créatrice de matière fécale sans post-réflexion, enfin, et pour être clair, de la daube en barre éco+.
Avant de continuer ce post, qui en soi n'a rien à dire sinon que de plates excuses, je souhaite évoquer ma condition actuelle. En effet, je viens de me faire opérer de l'appendicite, ce n'est pas grave, c'est une petite opération, j'en passe et des meilleures. Soit, mais ça fait un mal ! Ma concentration en a prit un coup, mon appêtit aussi. Ensuite, je veux faire une allusion aux divers commentaires que je reçois. En effet, ils sont de plus en plus nombreux et je souhaiterai vous remercier, toutes et tous de cette pertinence. Il demeure cependant plusieurs anonymes actifs qui aiguillent ma curiosité. Qui sont-ils ? Votre identitée m'intéresse, maintenant, la donnerez-vous ?

Je vous promets de reprendre mes écrits d'ici peu, lorsque mon ventre sera moins capricieux qu'un pot de confiture neuf. En espérant que votre assiduité ne tarira pas, je ne tarirai pas d'éloges à votre égard. La noirceur du moment sera, je l'espère, mit de côté pour me permettre, enfin, de reprendre les reines de mon encéphalogramme...
Vous saviez qu'être constipé avec des points de suture dans le nombril, c'était comme avoir une cicatrice sur l'anus ?

22 janvier 2007

nord

Comme une vague de peine, une vague de tristesse, qui transperse, traverse mon corps malade. Elle me fait vasciller et soudain, me fait ressentir cette envie qui me noue. Mon corps balbutie des signaux d'alertes mal compressés, une souffrance sourde qui me rend aigri. Chaque mot est à même de me faire souffrir, mon corps est au bord des larmes, mes larmes sont au bord du vase. Tout ne fonctionne pas, il ne me reste que le silence comme complice, l'ennui comme caverne, je n'arrive plus à sourire. J'ai mal, mais là où on l'attend, ce mal, il n'y est pas. Bien plus profond qu'une épine dans un pied, il est latent et attend son heure...
Au signal rouge rugissant son ruisseau de peine, j'atteind à peine la lueur de mon être. Se dominer est une règle que je ne suis plus depuis que j'ai fait acte de foi à l'écriture, celle qui exoce nos fantasmes, nos prières envers nous même, nos rires et surtout nos tristesses. Pourquoi aujourd'hui je perds le nord alors qu'hier j'enviais le sud ?

20 janvier 2007

Une journée éternelle de réalité

Huit heures, le réveil sonne me tambourinant la tête à coup de redondances aiguës.
Je me lève tant bien que mal, le ventre toujours aussi lourd, mon appendice toujours aussi malade. Aujourd'hui, je dois me faire opérer. Enfin. Enfin, on va m'enlever cet inutilité naturelle que représente cette poche de cinq millimètres, si peu.
Je me retrouve nez-à-nez avec une infirmière, rondellette à souhait, le visage aussi dodue que celui d'un enfant, d'une gentillesse à vous faire pâlir la timidité. Elle me pique, me rate. La veine se dérobe, dit-elle. Réellement, je m'en fou, ça fait mal, mes expressions le prouvent. Elle change de bras, pique, réussit, sourit, prend du sang, me perf', le bonheur. Je ne sens plus mon bras, complêtement anesthésié par le garot qu'elle m'a laissé pendant près de cinq minutes. Le sang me coulant à nouveau dans les veines, cette chaleur diffuse me brûle les doigts. Elle sort, cette infirmière en troisième année, qui fait son stage à la plyclinique St Jean, payée quarante euros la semaine, douée d'une aisance sociale, un charisme qui s'efface devant le médecin, qui renait de ses cendres devant le patient. Là, je me lève afin d'entreprendre la lecture d'un livre que l'on me conseilla, puis me pretta quelques semaines plus tôt.
Je noyais mes ennuis dans le délice passionné féminin de Cavanna. Le monde autours me parraissait livide face à cette lecture qui faisait naître en moi la divine présence de la femme, de ce Elle qui nous fait chavirer d'émois. Une écriture légère qui nous fait partir dans l'imaginaire physique. J'entends par là qu'il se différencie du livre que j'adorais. Celui-ci nous rend perméable l'imaginaire, nous nous représentons la lecture, alors que des auteurs comme Adam, Gavalda, nous rendent perméable l'imaginaire sensuel, le décors, on s'en fou car il est commun à tous, seul le sentiment est important. Cavanna, quant à lui, emporte tous mes sens grâce au seul directeur d'une lecture, et je me perds dans ses passions, ses fantasmes qui nous embôment tous, nous qui sommes homme, homme qui aime et qui désire. Je suis à demi conscient dans le monde qui m'entoure. Les murs blancs sales, le damier au plafond, la perfusion qui s'écoule dans mon bras rachétique, la chaleur ambiente qui me frigorifie, le va et viens du personnel hospitalier, mon corps malade, le lit pas assez relevé qui me scie la nuque, les lavabos, les compresses, les seringues, tout ça n'existe plus, je suis rongé par la réalité féminine, la réalité surnaturelle de Cavana qui me transporte dans des fantasmes lyriques étouffants. Ca réalité m'effleure comme un rosier qui me carresse de ses pics assérés et je me vois saisir l'instand de beauté qui existe dans tout un chacun. La femme est portée au lyrisme absolue, mais il ouvre la brèche dans l'humanité. Je me surprends à sourire, à rêver, à laisser ses trois heures de côté, en espérant qu'elle dure toute la journée, même avec une seringue dans le bras.
Le chirurgien passe et me fait l'éloge de ma lecture. Un italien, d'une classe nette et d'un accent mélodieu, il est une chanson à lui tout seul. Il me sourit, me prend à parti, me fait rire et me fait oublier que je suis là pour me faire opérer. Chaque allée-venu est un moment utilisé pour continuer cette dévorante lecture, comme l'on dévore le sein d'une femme, avec frénésie, découverte et technicitée non élaborée. On m'annonce la reconduite de mon opération à lundi, faute de lits. Cela ne me dérange point, j'ai mal, mais peu.
Je rentre chez moi, et je m'empresse de continuer la lecture... Juste pour parfaire le désir réciproque, celui de loup et de brebis. On la désire, mais elle nous désire tout autant. Une femme est bien plus qu'une perle, c'est une femme.

13 janvier 2007

la beauté

Nous voudrions pouvoir toucher du doigt la beauté, or c'est impossible. Nous le souhaitons car la beauté est inconceptualisable, incontextualisable. C'est comme le bonheur...

rien

Mes partiels sont finis, mon anniversaire aussi, mes maux de ventre continuent.

Je ne serais pas exhaustif quant à mes partiels, car se prononcer avant une quelque note serait pure folie, car soit on passe pour un bouffon, soit pour un prétentieux. Alors je préfère l'anonymat et le mystère. Je ne me suis pas fait plaisir, c'était scolairo-nullissime. Des dissertations en deux heures pour hermites, ils nous prennent pour des mongolitos sortant du CP. Cela change de mon année philosophique passée. Des dissertations en quatre heures, dont deux pour poser sur papier les diverses divagations. Je suis un peu mauvaise langue, c'était bien, même pour des disserations en deux heures, pour les sujets triviaux présentés, non, c'était quand même bien. J'arrête car je pourrais en dire du bien. En tout cas, je garderais nos délires Flogiens en tête.

Mon anniversaire, je ne serais pas évasif, j'en dirais peut être trop de mal, puis du bien, en restant dans un flou qui demeurera négatif finalement. Il a commencé bien, il a continué très mal, il s'est fini en apotéause. Merci aux présents, merci à ceux qui ont pensé à une date sur un calendrier (je suis le premier qui oublie) et merci à ma famille qui reste le battement régulier d'un coeur qui quelque fois souffre.

Quant à mes maux de ventre, vous en avez rien à foutre, mais ils me rendent la vie impossible. J'ai mal, j'ai l'impression que l'appendicite est gorgée comme une truie, j'ai mal. Chaque mouvement est un combat que je gagne avec douleurs. Psyco somatisation ou non, j'ai mal...

06 janvier 2007

Deux choix, une réponse

Il y a deux types d'amour :
  1. Choisi.
  2. Subi.
Le premier est éternel, le second est durable.

04 janvier 2007

Mes cadeaux d'ironie.

Mes cadeaux de vacances de fin d'année : Les cris et les révisions.
Elles avaient pourtant bien commencées, ces vacances. Noël en prévision, de nouveaux/nouvelles amies, un matche de paintball plié, une confiance dans les partiels, des nouvelles créées, des soirées, bref, que des bonnes choses.
Voilà Noël passé, puis le jour de l'an, et l'année 2007 sonne toujours diez. Un accord inarmonieux constitué d'un fa mal placé. Une main qui glisse, un doigt qui s'égare et c'est la fausse note.
A croire que tout le monde était courtois avant de passer les fêtes pour paraître sage lorsque le père noël et ses etreines passeront. Et il m'a bien eu, le père noël et sa barbe blanche. Noël a sonné d'un accord en si bémol parfait, le nouvel an en sol. Puis, tout le monde reprend ses esprits, la mauvaise foi est passé, on recommence ce que l'on est.
La maison n'est plus bercée par la douceur suave d'un hiver chaleureux, la maison se fissure par les cris stridents d'une incomplicité. La tension est telle, l'électricité dégagée si forte, que tous les regards vous prennent à parti. Alors, vous tentez de faire l'aveugle ou de jouer une mélopée. Je ne suis ni musicien, ni aveugle, alors j'écoute cette harmonie passée et l'éclosion de la surprise chaleureuse.
Même le sapin, cette année, a été éludé. Même certains cadeaux ont été oubliés, même les rires familiaux ont été transformé. Une partie de la famille a choisi l'exil plutôt que ce repas autrefois chargé d'amour et de sourires sincères. Le nouvel an a commencé par des désillusions, s'est chargé de bonheur pour tomber dans une égalité aux nuits passées.
Depuis quelques jours, les livres, les classeurs et les documents ont remplacé le téléphone, le clavier et les mains des camarades. Les yeux se bornent à Freud, Genet ou Caravage tandis que le sourire s'éteint en espérant se rallumer lors de ma rentrée prochaine. Je lutte jusqu'aux partiels pour qu'enfin je puisse voir au travers de ces voiles de mystères.
Pour la première fois, je trouve cette date d'anniversaire bien trop lointaine pour être dignement souhaitée. Pour la première fois, j'imagine pour être heureux, je vis pour l'accomplir. J'ai tendance à croire que le temps n'avance pas pour me jouer des tours dans un futur proche. Je n'avancerai pas quand, soudain, tout arrivera avec trop de force, trop de rapidité et d'empressement, que je ne parviendrais pas à tout dominer.
Il faut que le temps reprenne sa mélodie qui berce mon sourire et ma joie de vivre. Il en dépend principalement de ma famille qui se délie en brûlant les traces, celles qui retrouvent le chemin de l'amour passé.

02 janvier 2007

la vie, c'est comme un coup de zizi sur le front, ça fait une bosse.

Vous avez dû remarquer, mais je parle peu de ma vie personnelle, mes actes, mes choix crutiaux, mes amours, mes remarques pertinentes, j'en passe. Il y a deux raisons à cela :
  1. Je suis pudique.
  2. J'ai peur que le récit de ma vie ne vous fasse prendre conscience que votre existence est morne d'intérêt, ma vie étant si parfaite et tellement pertinente.
Mais, me cachant sous l'identité de Me, je me dois de ne pas écrire sur ma vie, car je suis là incognito. Il est vrai que j'ai la prétention d'être aussi doué que sur mon skyblog, en ayant le même taux de visite journalière, le même taux de crétins skyblogeurs, le même taux d'illettrés débilo-congénital, le même taux de commentaires et le même taux de réflexions idéologico-branlette à deux sous. Mais soit, j'ai perdu le modjo, et Austin Power m'a remi sur le droit chemin. Cependant, je n'ai guère d'anecdotes croustillantes à vous conter, au point de vous en délecter, peut-être de peur d'être lu par, le/les concernés. Enfin, si une anecdote est racontée sans style et dénuée de tout humour, je peux assurer que mon blog serait dans une chute abyssale de visites et de commentaires (qu'il est en train de s'effectuer). Actuellement, j'aimerai arrêter ce blog, car peu de personnes sont là pour réagir. Vous me diriez, et vous n'auriez pas tord, que je suis un peu fou fou, et qu'il n'y a pas de sujets à débat. De plus, je ne mets pas mes nouvelles en ligne de peur qu'un fou psycopathe paraplégique me vole ma gloire future, lorsque je serais le nouveau gagnant du prix Goncourt.
En gros, Ce blog est dénué d'intérêt, et pourtant je continue inlassablement mes écritures, si dénué de tout sens que j'en fait pleurer mon ampoule rectale.
Promis, lecteur, un jour, je vous ferais un de ces posts qui sentent bon la diarhée chaude et le caca dur, soyez patient. Oui, surtout pour toi coquine... Tu accèptes qu'on te chie sur le front ? Qu'on te tapote le zizi sur la tête ? non ? tu vas apprendre...

Peut-être

Il est vrai que j'ai perdu de mon style comique ravageur. Mais qui sait, peut-être qu'il reviendra un de ces jours, au galot.

Peut-être que je me borne à une écriture trop stéréotypé, ainsi, j'ai peur des conséquences ?
Peut-être que j'ai perdu toutes bonnes blagues aux accents d'interjections japonisantes et au style si cru qu'on ferait passer Maïté pour une hardeuse ?
Peut-être que je révise et que j'ai la tête dans les concombres phaliques de Freud ?
Peut-être que j'ai la tête dans ce qui me rend heureux ?
Peut-être que je n'arrive plus à être drôle parce que je pense que d'autres le font mieux que moi ?
Peut-être que je devient aigri, obtu et que je rage comme une courgette lorsqu'on m'insulte ?
Peut-être que je demanderai à Cricri d'amour de me faire un massage du scrotum pour me faire oublier que je ne suis qu'un prétentieux ?
Peut-être que j'ai les connextions synaptiques encore imbhibées de jus de cul d'abeille ?
Peut-être que j'ai peur de passer pour un sale misogine anthropologue ?
Peut-être que mon vocabulaire s'est appauvri à force de lire Tétu et Public ?
Peut-être que je vous emmerde et que je trouve mon nouveau style digne de Michel Muller, Jean-Claude Van Dame ou Weber ?
Peut-être que je me crois supérieur à vous et c'est pourquoi mon style se veut plus professionel ?
Peut-être que je me pose trop de question et que je me doit de fermer mon encéphale d'anus d'éléphant ?
Peut-être que je n'ai pas d'idée stylistique et ainsi, je les vole au plus offrant ?
Peut-être que je voudrais être drôle mais que je me l'interdit pour être normatif ?
Peut-être que je...

L'étudiant...

Comme tout bon étudiant qui se respecte, j'ai la frange sur le côté, le costard et le sac en bandoulière. Qui plus est, je lis Le Monde, Courrier international et Capital. Mon image de marque est très importante et pour tout avouer, elle régit ma vie. Oui, mon père est coté en bourse, il est le gérant du géant Discount, Liddl.
Arrêtons tout de suite ici ces divagations futiles, le tableau de l'étudiant de fac de lettres n'est pas celui de la fac de droit. L'étudiant de lettres à toutes les prétentions du monde sans volonté de les réaliser. Il sèche car il n'a pas envie et porte un sac en bandoulière généralement décoré. Il souhaite rencontrer pleins de gens en faculté, mais il se rend compte que c'est un vaste anonymat, mais il y croit encore. Il est de gauche et rêve de renouveau révolutionnaire. Il veut lire les grands périodiques, mais dit qu'il le fait pour paraitre plus intelligent en sachant qu'il ne lit que Minutes. Il veut révolutionner le monde, mais ne s'en donne pas les moyens. L'étudiant de lettres fume et boit généralement, ça fait plus roots. On lui dit qu'il va rater sa vie car c'est un refuge de chômeur, mais il s'en fou, l'étudiant de lettres. Il se dit que ça va être facile et ne travaille pas. L'étudiant de lettres est plein de bonne volonté, mais l'action surgit rarement, si ce n'est pour protester contre les institutions.
L'étudiant, c'est un grand "généralement".

Et moi, je suis là dedans, et je n'ai aucune prétention à vouloir devenir le maitre du monde, j'ai trop à faire à devenir mon propre maitre. Je n'ai ni confiance en moi, ni un don particulier, mais je donne l'impression d'en avoir. Je me crois fort en écriture, car on me dit que peut-être, il y a quelque chose, mais qu'au fond, d'autres sont meilleurs. J'ai des rêves, et je ne les réaliserai peut-être jamais, mais j'en toucherai surement l'impalpable. Je suis étudiant et je rêve d'être au dessus de tout, et de posséder l'intellect. Je me crois intelligent, alors que d'autres me ravalent l'égo. Je me crois simplement étudiant. Alors je révise comme tout le monde pour ne pas me planter à l'examen, alors qu'au fond, j'en ai rien à foutre et que je sais que mon département c'est Disney-Land. Je me donne bonne conscience en espérant avoir de bonne note et en étant toujours déçu du résultat. Je me crois super sociable, alors que d'autres le sont mille fois plus et me rendent jaloux de connaitre l'autre avec sa casquette Téléfoot. Je me crois drôle, alors qu'il y en a plus d'un qui ne rient même pas et qui me sourit pour me faire plaisir. Je me crois cultivé, alors que je n'ai pas vu Orange Mécanique et ne connait pas l'actuel président du Soudan. Je me crois beau, alors que je bave devant d'autres mecs en essayant d'être comme eux.
Je me crois fort, intelligent, doué, alors qu'au fond je ne suis rien de plus que vous et j'en suis conscient. Sauf que vous, vous n'y croyez pas, à votre don d'être vous.

Parfait

Je suis parfait si le monde n'existait pas.

01 janvier 2007

Joie et ivresse...

Je vous parle aujourd'hui dans ce premier jour de la nouvelle année. Et comme tout bon blogger qui se respecte, je vous souhaite à tous une très bonne année.
Ne pensez pas que mon avis sur l'idée même de dernière nuit annuelle ait changé, ce n'est qu'une nuit avant celle de demain. Rien de change, si ce n'est notre hypocrisie. Mais, aujourd'hui j'aime à m'imaginer croire que demain sera différent... Aujourd'hui, je rêve, hier les douze coups ont sonné différemments.
Bonne année. Pensez qu'hier n'était qu'un prétexte à la fête. Mais pensez aussi que la fête sans prétexte est bien plus récompensée. Vivez aujourd'hui en pensant à demain. Demain n'est pas différent si vous ne le souhaitez pas. Le mensonge est notre mentor. Devenez "volonté".