06 mai 2007

Quand la France d'en bas vote pour la France d'en haut...

La haine ne réside pas dans le parti, mais dans la force de l'électeur.
Féroce


Vive la France, vive les français... On ne tire jamais les leçons du passé, l'histoire se répette sans fin...
Sarkozy n'est pas le Président des français, il ne sera que le Président de 53% des français. Jamais plus...



Sarkozyste, ne vous plaignez jamais...

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Je trouve ce post très juste.

Anonyme a dit…

Il est facile de tenir ce discours. Car tout le monde sait par expérience qu'un gourvernement se réfraine à travers des lois pour en voter d'autres, et que ces dernieres n'ont jamais été à l'unanimitées dans l'accord de désision prise. Le mieux à faire dans ce cas, au lieu de siter phrases futiles et à bassesse d'utilisation, et de te mobiliser pour les futurs élections.

me a dit…

Ton discours est le plus catastrophique que j'ai pu lire depuis la création de tous mes blogs.
J'écris que c'est le premier Président qui scinde la France en deux blocs bien distinc, comparé aux autres Présidents de droite. C'est le premier Président qui voue une haine placide envers la gauche.
Quant à la sentence citée ci-dessus, c'est une sentence du film Féroce qui a comme sujet un parti d'extrême droite. De plus, cette maxime me semble vraie, car c'est pas le parti qui s'élit lui-même, c'est la population.
Quant à ma mobilisation, Tu entends quoi par " se mobiliser pour les futures élections ". Car, peut-être crois-tu que je me croisais les mains en me disant que ma carte d'électeur est plus propre au fond de mon porte-feuille plutôt que dans les mains du Maire ? Ou que maintenant, j'allais interjecter devant mon ordinateur.

Pour terminer, je ne suis pas le genre à faire des mannifestations anti-Sarkozy pour le plaisir de faire chier et de revendiquer ma minorité. Si je juge une loi votée bonne, je l'accepte, une mauvaise, je mannifesterai.
Certes, il n'y a jamais unanimité et cela prouve que le pays est dynamique et est en droit de mannifester. De nombreuses idées énoncées par M. Le Président sont anti-grève. Mais, pour le moment, rien n'a été voté, nous verrons cela en temps et en heure.

Maintenant, quand on ne connait ni son interlocuteur, ni ses choix, ni ses doctrines, principes et carte du monde, on se permet de tater le terrain avant de juger au point de lui administrer des scénarios de vie faisant plus penser à une mère donnant un tape sur les mains erronée, plutôt qu'a un conseil normatif.

Facile ? Pourquoi ? C'est un moyen d'expresion.

MindWideShut a dit…

J'allais coasser, suite à la lecture du commentaire de Jacqueline, mais ton ton normatif convient parfaitement... d'autant plus, que pour une fois, il n'y a pas de relent d'enfant soumis dedans... ;)

Mais quand même, histoire de ne pas rester sur ma faim et ce qui aurait pu être ma fin, je serais mauvais joueur à "bassesse d'utilisation" et je clamerais à Mme J. qu'on peut citer, mais que "siter" c'est de la mauvaise francisation... en plus, ça me paraît pas facile de faire assoir des phrases... enfin bon... je vais y aller là... histoire de me mobiliser pour "les prochaines élections"...
croak...

Anonyme a dit…

le commentaire de mme jacqueline. t'aura au moins permis de "developper" ton point de vue mon cher arthur....car mon impression est que ton post laisse paraitre un soupcon d'abandon(cela ne reste que mon impression).

me a dit…

Non, jamais je ne pourrais envisager l'abandon face à une lutte qui n'a pas encore commencé !
Il est vrai que cela peut parraître démoralisé ou dépité, mais je ne pourrais pas laisser tomber une lutte qui tient à coeur, puisque c'est une lutte d'avenir.