27 septembre 2007

C'est quelque chose qui se passe. Tout s'effrite, plus rien ne gravite. Seulement des ombres qui effectuent une danse macabre.
On me regarde, on me juge. Le présent n'a rien a voir avec le passé. Tout s'occulte.
Pas le besoin de me victimiser, pas le besoin d'expliquer. Ils ne comprennent pas ou ne veulent pas comprendre que je suis sincère lorsque je leur demande... de me pardonner.

J'essaye de me connaître, j'essaye de me comprendre. Mes actes jugent de ce désir. Ils tâtonnent, rencontrant lumière et ombre, rire ou haine. Je ne comprends pas tout, je ne peux que ressentir.

Pas besoin d'une longue introspection. Non. Besoin d'un sourire.

Il me manque...


Pardon à ceux que je tue. Pardon à ceux que je déçois. Vous qui êtes si proche de ce coeur.

3 commentaires:

MindWideShut a dit…

Pardon mais... tu tues qui ? tu déçois qui ?

Anonyme a dit…

Il y a parfois des "incidents" de parcours dans une vie, ça arrive à tout le monde!
J'espère que ma (facheuse?) manie à croire en l'être humain (et spécialement en ceux qui me sont proches) ne sera pas vaine...

me a dit…

elle ne l'est pas !