11 octobre 2007

Quand le néant ressemble à la gueule de Levy.

J'ai dix minutes. Dix minutes pour ne rien dire, dix minutes pour ne rien écrire. Et pourtant je le fais.
"Putain, t'as encore rien à dire !". Si, j'ai plein de choses à dire... Cependant, veuillé-je les dire ?
Je vous méprise. Encore ? Encore, signifie "en coeur", dans le langage informatique, alors venez pas me faire chier ! Ça devient commun de vous mépriser, comme se convertir à l'islam. C'est une mode lancée par... Non, pas 99F. C'est une mode lancée par un/des gros cons. Vous le savez, je ne suis pas comme ça ! Internet me permet l'anonymat, la schizophrénie, le débilisme chronique, la bêtise médiocre, la beaufitude avancée, le crétinisme ambiant, être moi... en sommes.
Comprenez, je ne peux me résoudre à être ce que je suis dans un climat de peur comme celui qui nous entoure actuellement. Je serais enfermé, condamné à faire six mois d'HP. J'aimerai être comme Levy derrière une plume, c'est à dire être une grosse merde. Mais je m'étonne en ce moment à ne pouvoir produire que le néant dactylographique. Écrire sur ce qu'on va écrire, écrire sur la page blanche est d'un commun les amis...
Bon, il faut que je m'arrête. Le temps qui m'était imparti se finit. Et comme je le disais plus haut, je n'ai rien écrit, si ce n'est que j'ai un gland plus gros qu'une pomme de pain et une pomme d'Adam (AH NON ! Pas ce pédé ! Si, lui même ! Avec ses dreads et ses tresses pubiennes... Oui, lui même créé par le barbu. Le grand pote de Flog, d'ailleurs, il l'a même son interview ! Fermons la parenthèse là...) plus grosse qu'un gland de pomme d'Adam. Il est temps de s'arrêter. Tant de retrouver toute la dramaturgie de ma vie qui demeure un exemple pour les génération future vouée à l'anéantissement par la machine de guerre nommée Ozone (ils ont éclaté les 2Be3). Que le Dieu Halliday vous face un cuni et que tous les cunis soit happy day...
Je me retire, j'ai un sexe à taper.

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